ACCELLIANCE accompagne les repreneurs d’entreprises, que vous soyez personne physique ou société, dans vos projets de croissance externe :
La valorisation de l’entreprise est l’un des piliers d’une transmission réussie.
Et il ne s’agit pas « juste » d’aligner des valeurs comptables et de tester différentes méthodes de valorisation, mais bien de trouver à se rapprocher au plus près des attentes de chacun et de la complexité de ce qui fait une entreprise.
paragraphe à rédiger
Transmettre et reprendre un entreprise, c’est péreniser l’économie, mais également profiter d’une nouvelle énergie, une nouvelle impulsion, pour s’aligner avec les attentes contemporaines et participer à l’économie de demain.
Chaque acquisition est particulière, dépend de nombreux critères.
Pour autant voici les grandes parties du processus d’achat d’un entreprise :
Lorsque vous reprenez une entreprise, vous reprenez également la récurrence de son chiffre d’affaires, la notoriété, les salariés …
Cela permet d’aller plus vite sur le secteur d’activité que vous ciblez, en comparaison d’une création d’entreprise ex nihilo.
Vous allez cependant reprendre également certains éléments qui peuvent être négatifs. Au moment de la négociation, il sera intéressant de mettre en avant les points négatifs détectés pour réajuster la valorisation, puis de mettre en œuvre un plan d’actions post-acquisition pour résoudre ces problèmes soulevés.
Il est possible de racheter le fonds de commerce ou les titres (avec l’actif et le passif), dans le cas du rachat de titres, une Garantie d’Actif et de Passif (GAP) est fréquemment adossée au protocole d’accord pour protéger l’acquéreur des conséquences éventuelles du passé (contrôle fiscal, prud’hommes, …).
Voici les étapes incontournables de la prise de contact avec une entreprise à reprendre et le début de la négociation :
La négociation commence à ce stade et vous serez amené à adresser une nouvelle lettre d’intention.
Nous vous invitons à vous faire accompagner par un professionnel pendant la phase de négociation.
Quand l’accord sur les conditions de reprise et le prix sont effectifs, le cédant signe votre lettre d’intention.
Le protocole d’accord sera lui rédigé par un avocat, avec des échanges nombreux entre les parties.
Vous pouvez financer votre reprise d’entreprise par le biais d’un emprunt auprès d’un établissement bancaire par exemple, mais vous devez aussi disposer d’un apport, autrement dit de fonds propres, pour démontrer le sérieux et la solidité de votre démarche.
1ere étape : réunir vos fonds propres
Bpifrance recommande que cet apport représente « 20 à 35 % du prix de vente de l’entreprise, parfois plus selon la cible et le contexte économique ». Afin de prouver votre motivation et votre attachement à votre projet, vous devez en effet y verser une part de vos propres deniers.
Vous pouvez également solliciter vos proches, demander une aide publique ou un prêt d’honneur par les réseaux d’accompagnement (Initiative France, Réseau Entreprendre, …) ou faire appel à des investisseurs (crowdfunding, business angels ou fonds d’investissement)
2e étape : solliciter un prêt
Une fois vos fonds propres réunis, vous pouvez démarcher plus facilement les établissements financiers, ou même directement le cédant de l’entreprise, pour obtenir un prêt. Bpifrance propose le prêt de transmission pour les reprises de petites et moyennes entreprises (PME), toujours associé à un prêt bancaire.
C’est l’une des étapes qui nécessite l’accompagnement d’un professionnel de la cession-acquisition.
Si le travail de préparation en amont a été bien fait, le profil de votre future entreprise commence à se dessiner.
ACCELLIANCE rédige une annonce de cession (synthétique et sans nommer la société à céder) et identifie dans son réseau des entreprises qui pourraient être intéressées.
ACCELLIANCE peut également via un mandat de recherche, enclencher une phase active de recherche d’entreprises à proposer.
La première phase est bien de valoriser la société ciblée à partir des éléments économique et financiers reçus du cédant (ou de son conseil).
Mais ne confondez pas valeur et prix de cession ! L’évaluation ne permet pas de fixer le prix final mais plutôt des ordres de grandeurs, des bases de discussion. Le véritable prix final d’une entreprise auquel se conclut l’achat est le résultat du fruit de négociations entre vous et le cédant, notamment le prix que vous êtes capable de financer sans pénaliser la sécurité future de l’entreprise.
L’évaluation peut porter sur des actifs isolés (clientèle, licence de taxi, marque, machine, bâtiment, etc.), un fonds de commerce, des parts sociales de SARL, des actions de SAS… Vous devez bien préciser la teneur de la vente pour effectuer une évaluation adaptée à la situation.
Les associés d’ACCELLIANCE sont aguerris aux différentes méthodes de calcul et valorisent votre entreprise.
Il n’est pas recommandé de procéder à trop de changements au départ, car cela crée de l’incertitude chez les employés et cela pourrait en amener certains à démissionner. On perdrait ainsi une expertise qui est parfois difficile à remplacer.