Reprise - Acquisition - Fusion

L'ACQUISITION d'entreprise, une action stratégique

ACCELLIANCE accompagne les repreneurs d’entreprises, que vous soyez personne physique ou société, dans vos projets de croissance externe : 

  • faire croître votre Chiffre d’Affaires,
  • vous implanter dans une nouvelle région, 
  • consolider vos parts de marché, 
  • intégrer une nouvelle technologie ou intégrer de nouvelles compétences
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“Les deux choses les plus importantes n'apparaissent pas au bilan de l'entreprise: sa réputation et ses hommes.”

Henry FORD

Valoriser au plus juste

La valorisation de l’entreprise est l’un des piliers d’une transmission réussie. 

Et il ne s’agit pas « juste » d’aligner des valeurs comptables et de tester différentes méthodes de valorisation, mais bien de trouver à se rapprocher au plus près des attentes de chacun et de la complexité de ce qui fait une entreprise.

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Construire l'économie de demain

Transmettre et reprendre un entreprise, c’est péreniser l’économie, mais également profiter d’une nouvelle énergie, une nouvelle impulsion, pour s’aligner avec les attentes contemporaines et participer à l’économie de demain.

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Les grandes étapes

Comment se passe une acquisition ?

Chaque acquisition est particulière, dépend de nombreux critères. 

Pour autant voici les grandes parties du processus d’achat d’un entreprise :

Déterminer ses objectifs personnels et sa stratégie

Rechercher et approcher des sociétés cibles identifiées

Etudier le mémorandum de présentation

Elaborer le Business Plan

Remettre la lettre d’intention

Négocier et rédiger le protocole d’accord

Signer l’acte définitif

Vous êtes entre de bonnes mains

Vous êtes en réflexion sur l'ACQUISITION d'UNE entreprise ?

C’est toujours le bon moment de faire le point, que votre projet soit déjà précis ou non. Selon vos objectifs, plusieurs stratégies d'acquisition peuvent être adoptées. Nous vous proposons un rendez-vous gratuit.

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FAQ

Nous sommes là pour répondre
à toutes les questions
que vous pourriez vous poser

Lorsque vous reprenez une entreprise, vous reprenez également la récurrence de son chiffre d’affaires, la notoriété, les salariés …

Cela permet d’aller plus vite sur le secteur d’activité que vous ciblez, en comparaison d’une création d’entreprise ex nihilo.

Vous allez cependant reprendre également certains éléments qui peuvent être négatifs. Au moment de la négociation, il sera intéressant de mettre en avant les points négatifs détectés pour  réajuster la valorisation, puis de mettre en œuvre un plan d’actions post-acquisition pour résoudre ces problèmes soulevés.

Il est possible de racheter le fonds de commerce ou les titres (avec l’actif et le passif), dans le cas du rachat de titres, une Garantie d’Actif et de Passif (GAP) est fréquemment adossée au protocole d’accord pour protéger l’acquéreur des conséquences éventuelles du passé (contrôle fiscal, prud’hommes, …).

Voici les étapes incontournables de la prise de contact avec une entreprise à reprendre et le début de la négociation :

  • L’accord de confidentialité : tout commence par la signature du repreneur par laquelle il s’engage à ne pas faire un mauvais usage des informations dévoilées.
  • Le dossier de présentation de l’entreprise : la signature de l’accord de confidentialité a déclenché l’envoi d’un premier dossier de prise de contact (le Memorandum d’information ou info-mémo). Ce dossier contient une présentation de l’entreprise, de son activité, de sa clientèle, de ses moyens de production, de son organisation et de ses chiffres significatifs.
  • La première rencontre avec le cédant : moment clé, la première rencontre entre les protagonistes permet d’établir le contact, et permet au repreneur potentiel de confirmer son intérêt (ou non) pour l’entreprise.
  • La lettre d’intention : après une seconde rencontre et quelques échanges visant à clarifier les interrogations du repreneur, vous adresserez une lettre d’intention. Cette lettre d’intention précise :
    • la compréhension de l’activité de l’entreprise par le repreneur,
    • un ordre de grandeur du prix
    • un calendrier prospectif jusqu’à la signature de l’acte,
    • les points essentiels sur lesquels le repreneur souhaite mener son analyse et ses audits.

 

La négociation commence à ce stade et vous serez amené à adresser une nouvelle lettre d’intention. 

 

Nous vous invitons à vous faire accompagner par un professionnel pendant la phase de négociation.

 

Quand l’accord sur les conditions de reprise et le prix sont effectifs, le cédant signe votre lettre d’intention.

Le protocole d’accord sera lui rédigé par un avocat, avec des échanges nombreux entre les parties.

Vous pouvez financer votre reprise d’entreprise par le biais d’un emprunt auprès d’un établissement bancaire par exemple, mais vous devez aussi disposer d’un apport, autrement dit de fonds propres, pour démontrer le sérieux et la solidité de votre démarche.

1ere étape : réunir vos fonds propres

Bpifrance recommande que cet apport représente « 20 à 35 % du prix de vente de l’entreprise, parfois plus selon la cible et le contexte économique ». Afin de prouver votre motivation et votre attachement à votre projet, vous devez en effet y verser une part de vos propres deniers.

Vous pouvez également solliciter vos proches, demander une aide publique ou un prêt d’honneur par les réseaux d’accompagnement (Initiative France, Réseau Entreprendre, …) ou faire appel à des investisseurs (crowdfunding, business angels ou fonds d’investissement)

2e étape : solliciter un prêt

Une fois vos fonds propres réunis, vous pouvez démarcher plus facilement les établissements financiers, ou même directement le cédant de l’entreprise, pour obtenir un prêt. Bpifrance propose le prêt de transmission pour les reprises de petites et moyennes entreprises (PME), toujours associé à un prêt bancaire.

C’est  l’une des étapes qui nécessite l’accompagnement d’un professionnel de la cession-acquisition. 

Si le travail de préparation en amont a été bien fait, le profil de votre future entreprise commence à se dessiner.

 

ACCELLIANCE rédige une annonce de cession (synthétique et sans nommer la société à céder) et identifie dans son réseau des entreprises qui pourraient être intéressées.

 

ACCELLIANCE peut également via un mandat de recherche, enclencher une phase active de recherche d’entreprises à proposer.

La première phase est bien de valoriser la société ciblée à partir des éléments économique et financiers reçus du cédant (ou de son conseil).

Mais ne confondez pas valeur et prix de cession ! L’évaluation ne permet pas de fixer le prix final mais plutôt des ordres de grandeurs, des bases de discussion. Le véritable prix final d’une entreprise auquel se conclut l’achat est le résultat du fruit de négociations entre vous et le cédant, notamment le prix que vous êtes capable de financer sans pénaliser la sécurité future de l’entreprise.

L’évaluation peut porter sur des actifs isolés (clientèle, licence de taxi, marque, machine, bâtiment, etc.), un fonds de commerce, des parts sociales de SARL, des actions de SAS… Vous devez bien préciser la teneur de la vente pour effectuer une évaluation adaptée à la situation.

Les associés d’ACCELLIANCE sont aguerris aux différentes méthodes de calcul et valorisent votre entreprise.

Il n’est pas recommandé de procéder à trop de changements au départ, car cela crée de l’incertitude chez les employés et cela pourrait en amener certains à démissionner. On perdrait ainsi une expertise qui est parfois difficile à remplacer.